Instances...
En 2010, le erhu est
devenu partie intégrante des projets de la baleine de Sylvie Chenard.
En
2010, j'ai commencé à jouer du erhu en
créant le projet Quintessence,
ou les saisons de la baleine, en écho au
personnage chinois du texte Quintessence (Voir l'anthologie des Écrits de la baleine).
Et j'ai participé pour la première fois
au Happening de peinture de Tadoussac, où j'ai
célébré en musique, ce moment de
création collective et ce lieu de toute les
réjouissances, Tadoussac. Ce fut le moment de mes
premières performances publiques avec ce nouveau compagnon
de musique, le erhu, violon chinois à deux cordes, qui a
alors pris les couleurs sonores des baleines.
Des
passages du texte de Jazzamérique (Voir l'anthologie des Écrits de la baleine)
ont émergé ça et là.
Pendant le Happening de peinture, j'ai aussi
débuté un multimédia avec la
participation des femmes et des hommes qui ont peint,
inspirés par la mer... par le son du erhu. Yeux,
mains, ensembles devant la toile, constituent les
éléments d'un projet de toile vivante, comme
j'aime à nommer ce travail de multimédia
documentaire expérimental animé, dont témoigne la vidéo «Instances».