Au 20e siècle, il y avait hommage à Simone de Beauvoir pour sa contribution menant à la critique pour la libération et la créativité des femmes contre toutes les formes d’abus du système patriarcal. L’hommage est donc en totale dissociation et dissension avec des actes d’abus sexuels ou d’abus de pouvoir dont certains l’accusent au 21e siècle. Cette situation déplorable désigne les limites des relations respectueuses, égalitaires, libres et consenties. Elle peut servir à banaliser et à justifier des abus et de la violence, occulter la souffrance des personnes qui la subissent, et aussi servir à ridiculiser, invalider ou à discréditer les mouvements de libération des oppressions et injustices sociopolitiques contemporaines, les mouvements féministes. Le piège des hommages se referme sur nos gueules en sang, nos beaux mots délités, récupérés dans des bouches extrêmes, victorieuses contre l’humanité, contre la planète.